Le pouvoir de la pensée

Notre réalité humaine fonctionne entièrement par la pensée. Tout ce que nous ressentons est le résultat de notre pensée. Si nous nous sentons anxieux, c'est parce que nous avons des pensées anxieuses. Si nous nous sentons heureux, c'est parce que nous avons des pensées heureuses. La façon dont nous percevons notre réalité vient donc vraiment de l'intérieur ! Nous avons le pouvoir de choisir nos pensées et par conséquent, nous avons le pouvoir de créer nos sentiments.

Dès notre création, nous développons le pouvoir de la pensée, et avec le temps, lorsqu'un besoin n'est pas satisfait et que nous nous sentons mal à l'aise, les émotions de peur et d'abandon s'installent.

Nous apprenons qu'une couverture est réconfortante parce qu'elle nous fait nous sentir mieux, n'est-ce pas ? Faux. La couverture est un objet, sans capacité à nous faire ressentir quoi que ce soit. Cent pour cent du confort ressenti provient de notre propre réflexion sur la couverture. Cela ne pourrait-il pas être là où toutes sortes de dépendances commencent ? Nous recherchons quelque chose pour nous apaiser et nous réparer et dans ce moment de soulagement, notre pensée est modifiée et l'inconfort est engourdi, nous donnant une réalité déformée. Nous croyons que c'est la réponse à nos problèmes, mais c'est en fait juste notre esprit qui pense que c'est la réponse.

Le bien-être n'est accessible que si nous voyons que notre réalité est vécue par la pensée. Lorsque nous permettons à nos pensées de nous traverser, au lieu de nous y accrocher, nous créons un calme dans le corps et l'esprit là où nous aurions autrefois disparu dans un terrier de lapin. C'est dans cet espace que la clarté peut surgir et que nous pouvons voir la vérité.

Nous, les humains, sommes un vaisseau d'énergie et tout au long de cette vie humaine, nous sommes bénis avec le pouvoir créatif incroyablement abondant de la pensée. N'oubliez pas que les pensées deviennent des choses, alors pourquoi ne pas choisir celles qui nous servent au nom de la paix et de la joie ?

Par Julie Bertagna ; Tous droits réservés @2019